Marion Maréchal ne veut pas retourner « dans le giron » d’un parti politique
- il y a 5 ans
Marion Maréchal a affirmé ce vendredi 14 juin à Lyon, qu’elle ne voulait pas se remettre dans le giron d’un parti politique, sans pour autant s’interdire « d’intervenir dans le débat public ».
Marion Maréchal, directrice de l’Issep (école privée de sciences politiques), a assuré vendredi à Lyon ne pas vouloir « se remettre dans le giron d’un mouvement politique », mais sans s’interdire « d’intervenir dans le débat public », comme lorsqu’elle prône une alliance des droites.
« Je suis une chef d’entreprise. A court et moyen terme, je suis impliquée quasi à temps complet dans mon école. Ce n’est pas un levier électoral, ni un levier personnel », a affirmé Marion Maréchal à l’occasion de l’anniversaire de l’Institut des sciences sociales économiques et politiques (Issep), créé il y a un an à Lyon et qu’elle qualifie d'« école plutôt conservatrice ».
« Je n’ai pas d’autre projet pour l’instant mais je ne m’interdirai pas de m’associer à des initiatives […], ni d’intervenir dans le débat public », comme elle l’a fait en défendant l’idée d’une alliance des droites après la débâcle de LR aux élections européennes.
Marion Maréchal, directrice de l’Issep (école privée de sciences politiques), a assuré vendredi à Lyon ne pas vouloir « se remettre dans le giron d’un mouvement politique », mais sans s’interdire « d’intervenir dans le débat public », comme lorsqu’elle prône une alliance des droites.
« Je suis une chef d’entreprise. A court et moyen terme, je suis impliquée quasi à temps complet dans mon école. Ce n’est pas un levier électoral, ni un levier personnel », a affirmé Marion Maréchal à l’occasion de l’anniversaire de l’Institut des sciences sociales économiques et politiques (Issep), créé il y a un an à Lyon et qu’elle qualifie d'« école plutôt conservatrice ».
« Je n’ai pas d’autre projet pour l’instant mais je ne m’interdirai pas de m’associer à des initiatives […], ni d’intervenir dans le débat public », comme elle l’a fait en défendant l’idée d’une alliance des droites après la débâcle de LR aux élections européennes.