Forme - Activité physique : pas de résultat sans plaisir !
- il y a 5 ans
Chroniqueuse : Christelle Ballestrero
Alors que l’activité physique est l’un des premiers facteurs de prévention de nombreuses maladies chroniques, différents travaux scientifiques montrent que le plaisir est un paramètre intimement lié aux résultats obtenus.
Du plaisir obtenu pendant l’activité dépendent l’assiduité et l’observance, mais aussi l’impact sur les troubles de l’humeur.
Plus étonnant encore, une étude a montré que la consommation alimentaire après une activité physique est modulée par le plaisir pris au cours de cette activité.
Ainsi, des personnes marchant pendant quatre km en ayant été incitées à observer des beaux bâtiments sur leur trajet mangent moins à l'issue de la marche que celles ayant fait le même parcours sans consigne particulière. La façon de présenter l'activité physique, comme source de plaisir ou facteur bon pour la santé, a donc un impact sur la consommation alimentaire !
Autre expérience : des chercheurs de l'Université de Princeton (New Jersey) ont eu l'idée de tester l'influence de la course à pied sur deux groupes de rats : les uns vivant en groupe, les autres condamnés à la solitude. On a alors constaté que seuls les rats du premier groupe bénéficiaient de l'effet attendu d'un grossissement de l'hippocampe. Chez les seconds, on enregistrait au contraire un processus de régression. Ces neurobiologistes en ont déduit que l’accumulation des stress (sport + isolement) suffit pour bloquer une adaptation naturelle de l'organisme !
Quelles sont les activités qui apportent un maximum de plaisir Selon les profils ?
Remerciements :
MCoach sportif
Michel Courchinoux
06 24 48 54 33
mc.coachsportif@gmail.com
https://www.facebook.com/michelcourchinouxcoaching/
http://www.lisaforever.org/
Alors que l’activité physique est l’un des premiers facteurs de prévention de nombreuses maladies chroniques, différents travaux scientifiques montrent que le plaisir est un paramètre intimement lié aux résultats obtenus.
Du plaisir obtenu pendant l’activité dépendent l’assiduité et l’observance, mais aussi l’impact sur les troubles de l’humeur.
Plus étonnant encore, une étude a montré que la consommation alimentaire après une activité physique est modulée par le plaisir pris au cours de cette activité.
Ainsi, des personnes marchant pendant quatre km en ayant été incitées à observer des beaux bâtiments sur leur trajet mangent moins à l'issue de la marche que celles ayant fait le même parcours sans consigne particulière. La façon de présenter l'activité physique, comme source de plaisir ou facteur bon pour la santé, a donc un impact sur la consommation alimentaire !
Autre expérience : des chercheurs de l'Université de Princeton (New Jersey) ont eu l'idée de tester l'influence de la course à pied sur deux groupes de rats : les uns vivant en groupe, les autres condamnés à la solitude. On a alors constaté que seuls les rats du premier groupe bénéficiaient de l'effet attendu d'un grossissement de l'hippocampe. Chez les seconds, on enregistrait au contraire un processus de régression. Ces neurobiologistes en ont déduit que l’accumulation des stress (sport + isolement) suffit pour bloquer une adaptation naturelle de l'organisme !
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