Suppressions de 1 000 postes chez General Electric. Emmanuel Macron sera « extrêmement vigilant »
- il y a 5 ans
Emmanuel Macron a assuré hier mardi 28 mai que le gouvernement était mobilisé après l’annonce par General Electric de la suppression de plus de 1 000 emplois en France, et qu’il s’assurerait que les engagements pris en 2015 seraient tenus.
General Electric a confirmé mardi 28 mai envisager la suppression de plus de 1 000 emplois en France ce qui frapperait principalement sa branche turbines à gaz implantée dans le Territoire de Belfort.
« Nous serons extrêmement vigilants pour que tous les engagements qui ont été pris par General Electric soient tenus. La mobilisation de tout le gouvernement pour que toutes les solutions soient trouvées », a affirmé Emmanuel Macron après un Conseil européen, à Bruxelles.
Après son rachat en 2015 de la branche énergie d’Alstom pour 9,7 milliards d’euros, GE s’était engagé à créer un millier d’emplois nets en France et à maintenir les emplois en France pendant au moins trois ans. De ce fait, les sites français du groupe ont été jusqu’ici épargnés par les 12 000 suppressions d’emplois annoncées dans son pôle énergie en décembre 2017.
General Electric a confirmé mardi 28 mai envisager la suppression de plus de 1 000 emplois en France ce qui frapperait principalement sa branche turbines à gaz implantée dans le Territoire de Belfort.
« Nous serons extrêmement vigilants pour que tous les engagements qui ont été pris par General Electric soient tenus. La mobilisation de tout le gouvernement pour que toutes les solutions soient trouvées », a affirmé Emmanuel Macron après un Conseil européen, à Bruxelles.
Après son rachat en 2015 de la branche énergie d’Alstom pour 9,7 milliards d’euros, GE s’était engagé à créer un millier d’emplois nets en France et à maintenir les emplois en France pendant au moins trois ans. De ce fait, les sites français du groupe ont été jusqu’ici épargnés par les 12 000 suppressions d’emplois annoncées dans son pôle énergie en décembre 2017.