Un passager éjecté d’un avion de chasse Rafale au décollage.
- il y a 5 ans
Un passager éjecté d’un avion de chasse Rafale au décollage.
Trois enquêtes ont été ouvertes, ce mercredi 20 mars, à la suite d’un accident rarissime : l’éjection du passager arrière d’un avion de chasse Rafale à son décollage de la base de Saint-Dizier (Haute-Marne) au cours d’une mission d’entraînement.
L’accident est décrit comme très rare. Trois enquêtes ont été ouvertes, ce mercredi, à la suite de l’éjection du passager arrière d’un avion de chasse Rafale à son décollage de la base de Saint-Dizier (Haute-Marne) au cours d’une mission d’entraînement.
Le passager, âgé de 64 ans, « qui n’appartient pas au ministère des Armées » et « réalisait un vol d’information », a été hospitalisé pour des blessures. Il était assis sur le siège du navigateur, binôme du pilote. « Son état de santé ne suscite pas d’inquiétude », a déclaré le colonel Cyrille Duvivier, porte-parole de l’armée de l’air.
Le pilote est parvenu à reposer l’appareil aussitôt, « malgré la perte de la verrière », précise dans un communiqué le Bureau Enquêtes Accidents pour la sécurité de l’aéronautique d’État (BEA-É), chargé de l’enquête de sécurité. Trois enquêtes - interne, de sécurité et judiciaire - tenteront de déterminer les circonstances de l’incident, survenu à 13 h, a indiqué l’armée de l’air.
Trois enquêtes ont été ouvertes, ce mercredi 20 mars, à la suite d’un accident rarissime : l’éjection du passager arrière d’un avion de chasse Rafale à son décollage de la base de Saint-Dizier (Haute-Marne) au cours d’une mission d’entraînement.
L’accident est décrit comme très rare. Trois enquêtes ont été ouvertes, ce mercredi, à la suite de l’éjection du passager arrière d’un avion de chasse Rafale à son décollage de la base de Saint-Dizier (Haute-Marne) au cours d’une mission d’entraînement.
Le passager, âgé de 64 ans, « qui n’appartient pas au ministère des Armées » et « réalisait un vol d’information », a été hospitalisé pour des blessures. Il était assis sur le siège du navigateur, binôme du pilote. « Son état de santé ne suscite pas d’inquiétude », a déclaré le colonel Cyrille Duvivier, porte-parole de l’armée de l’air.
Le pilote est parvenu à reposer l’appareil aussitôt, « malgré la perte de la verrière », précise dans un communiqué le Bureau Enquêtes Accidents pour la sécurité de l’aéronautique d’État (BEA-É), chargé de l’enquête de sécurité. Trois enquêtes - interne, de sécurité et judiciaire - tenteront de déterminer les circonstances de l’incident, survenu à 13 h, a indiqué l’armée de l’air.