Nice. La reconnaissance faciale sera testée lors du Carnaval
- il y a 5 ans
Le mardi 19 et mercredi 20 février, la ville de Nice sera en mesure de tester un système de reconnaissance faciale sur la voie publique, à travers des caméras de vidéo-protection. Encadré par la Cnil, le test consiste à demander à un millier de volontaires venus au Carnaval de Nice de jouer le rôle de « cobaye » et d’accepter le principe de la reconnaissance faciale.
La ville de Nice a été autorisée par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) à tester un système de reconnaissance faciale sur la voie publique via ses caméras de vidéo-protection, a indiqué lundi son maire Christian Estrosi.
La ville va ainsi tester pendant deux jours le logiciel de reconnaissance faciale les 19 et 20 février, dans l’enceinte du Carnaval de Nice dont la 135e édition a commencé samedi, a précisé Christian Estrosi lors d’une conférence de presse, soulignant qu’il s’agissait d’une « première en France » sur la voie publique.
À l’issue de cette expérimentation, un rapport sera remis à la Cnil dans un délai de deux mois. Concrètement, l’expérimentation va permettre de tester différents scénarios, comme celui d’un enfant perdu dans la foule, d’une personne âgée vulnérable elle aussi égarée ou encore d’une personne dite « d’intérêt », c’est-à-dire recherchée, en mettant en œuvre six caméras de vidéo-surveillance positionnées sur le périmètre de test, limité à une partie de l’enceinte du carnaval.
La ville de Nice a été autorisée par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) à tester un système de reconnaissance faciale sur la voie publique via ses caméras de vidéo-protection, a indiqué lundi son maire Christian Estrosi.
La ville va ainsi tester pendant deux jours le logiciel de reconnaissance faciale les 19 et 20 février, dans l’enceinte du Carnaval de Nice dont la 135e édition a commencé samedi, a précisé Christian Estrosi lors d’une conférence de presse, soulignant qu’il s’agissait d’une « première en France » sur la voie publique.
À l’issue de cette expérimentation, un rapport sera remis à la Cnil dans un délai de deux mois. Concrètement, l’expérimentation va permettre de tester différents scénarios, comme celui d’un enfant perdu dans la foule, d’une personne âgée vulnérable elle aussi égarée ou encore d’une personne dite « d’intérêt », c’est-à-dire recherchée, en mettant en œuvre six caméras de vidéo-surveillance positionnées sur le périmètre de test, limité à une partie de l’enceinte du carnaval.