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Marion Maréchal : «Attention Monsieur Erdogan, nous aussi, nous avons notre fierté, nous savons d'où nous venons et où nous allons, nous savons que nous avons 1.500 ans d'histoire à défendre»

Union européenne : "Ne soyons pas faibles et ne subissons pas. Nous avons devant nous de grandes menaces (...) Voulons-nous subir ? Acceptons-nous la règle de l’autre ou la tyrannie des événements ou faisons nous le choix de décider par nous-mêmes ?"

Jean Castex : "Là où nous avons fait des progrès, c'est que lors de la première vague, c'est que nous avions des indicateurs rustiques et nationaux. Nous avons su nous doter d'outils territorialisés, et nous avons fait confiance aux acteurs de terrain."

Véronique Le Floc'h : «Nous ne visons pas les Parisiens, nous ne visons pas Rungis, nous visons le pouvoir. Nous cherchons à nous faire entendre»

Chaïbo Idriss : "il nous faut un Code, nous les artisans. Ce n'est pas n'importe quel Bogo-bogo qui prend deux gendarmes et vient nous taxer".Chaïbo Idriss : "il nous faut un Code, nous les artisans. Ce n'est pas n'importe quel Bogo-bogo qui prend deux ge

#FaaHotu 100% Fenua "Grâce au RĀHUI, nous pouvons manger à notre faim. Nous ne nous enrichissons pas, mais nous arrivons à vivre décemment. Et nous sommes he

Florence Parly : "Nous ne quittons pas le Sahel, nous réadaptons notre dispositif, nous le transformons de façon profonde (...). Nous avons rencontré des succès dans le combat que nous menons contre les groupes terroristes."

Alain Finkielkraut : "En 1968, nous étions sûrs d’être dans une période de lutte finale, nous brandissions des slogans absurdes, parce que nous vivions à l’ombre de la Résistance, et nous voulions nous montrer à la hauteur"

"Nous ne fermerons pas d'école primaire (...) Cette année nous allions en fermer 186. Même ce 186 nous allons revenir dessus. Nous allons regarder avec les maires concernés si nous la fermons réellement", déclare Jean-Michel Blanquer

Il était temps que nous nous arrêtions ! Nous avions décidé de ne pas évoquer le moindre sujet politique, mais finalement, nous avons presque failli aborder notre "Grande Querelle". C’est ainsi que nous avons dû conclure, sur une note restée certes légère

Président Erdogan： ＂Nous travaillerons sans nous arrêter et nous reposer jusqu'à ce que nous fassions de la Turquie l'une des 10 plus grandes économies du monde＂

Clarisse Hahn : "L'appareil photo est une sorte de prothèse qui nous projette à la surface du corps de l'autre. Il nous permet de nous cacher, de nous retrancher, pour regarder encore plus intensément."

Emmanuel Macron : «En France, nous sommes à 92% ou 93% de stockage par rapport à nos capacités. Nous sommes en avance sur les objectifs que nous nous étions donnés»

Jean Castex : "Nous constatons qu'il y a une reprise de l'épidémie. Il n'y a pas de quoi s'affoler, mais nous sommes passés de 1 000 à 3 000 cas par jour. Nous gérons cette situation pour pouvoir nous permettre de passer à la phase suivante, la relance."

Daniel Fasquelle : «Nos électeurs n’ont pas voté pour qu’on soit une béquille de la macronie ou des supplétifs, Emmanuel Macron nous a négligé, méprisé, il a voulu nous faire disparaître, maintenant il va falloir qu’il compte sur nous et nous écoute»

HK : "Nous devons nous-même nous réinventer si nous voulons réellement changer les choses !"

Bande-annonce : Pourquoi nous détestent-ils, nous les migrants ? Nous les flics ? Nous les jeunes de banlieues ?

Jean Rottner : avec les Länder allemands voisins, "nous nous connaissons parfaitement, nous avons des liens d'amitié, de confiance, de transparence, nous travaillons depuis plus d'un an ensemble"

Jacques Toubon sur les difficultés des agriculteurs : "Nous constatons de plus en plus que les services auxquels nous nous adressons ne nous répondent pas, faute de moyens"

Jean-Michel Blanquer : "Soit nous tous, 65 millions de Français, nous nous complaisons dans une espèce de cercle vicieux de l'énervement et de la violence, soit nous revenons au calme, et le calme c'est débattre".