Viol : un chien nous rappelle le sens du mot « non »
- il y a 7 ans
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Cette photo a été publiée sur Facebook par Bree Wiseman, une jeune américaine de 22 ans ayant été victime d’une agression sexuelle par le passé. Elle était accompagnée d’un message simple, claire et très efficace.
« Voici mon chien. Sa nourriture préférée c’est le steak. Il a les yeux rivés sur mon assiette. Mais il ne s’approchera pas plus parce que je lui ai dit non. Si un chien se comporte mieux que vous, vous avez besoin de réévaluer votre vie. »
Son objectif : lutter contre les « personnes qui disent que les femmes sont violées à cause de la manière dont elles s’habillent ». Car oui, en 2017, il est encore possible d’entendre « Elles n’avaient qu’à s’habiller autrement », « Forcément lorsqu’on porte une jupe si courte… » et autres « Elle l’a bien cherché » pour justifier le viol
« Si un pitbull de quatre ans comprend le mot ‘non’, alors même qu’il regarde quelque chose qu’il veut tellement qu’il en bave, alors les adultes devraient comprendre ‘non’, peu importe comment l’autre adulte est habillé. L’apparence ne devrait pas faire la différence dans des cas d’agressions sexuelles » Bree Wiseman // HuffPost
Pour rappel : « la seule personne à blâmer dans un cas de viol, c’est le violeur. C’est lui qui a pris la décision de violer ». Evidemment.
Crédits : Bree Wiseman / Facebook (https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10209779990324332&set=a.1906742716135.2092268.1468811148&type=3)
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« Si un pitbull de quatre ans comprend le mot ‘non’, alors même qu’il regarde quelque chose qu’il veut tellement qu’il en bave, alors les adultes devraient comprendre ‘non’, peu importe comment l’autre adulte est habillé. L’apparence ne devrait pas faire la différence dans des cas d’agressions sexuelles » Bree Wiseman // HuffPost
Pour rappel : « la seule personne à blâmer dans un cas de viol, c’est le violeur. C’est lui qui a pris la décision de violer ». Evidemment.
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