Bavure policière : la police de Seattle a abattu une femme enceinte qui avait appelé pour signaler un cambriolage
- il y a 7 ans
Une nouvelle actualité sordite est en train de créer l'émoi outre-Atlantique.
Dimanche, la police de Seattle a abattu une femme noire de 30 ans qui était enceinte de trois mois. La jeune femme avait à la base appelé la police pour siganer un cambriolage.
Lorsque les deux agents sont arrivés, la victime décrite comme 'pouvait présenter un danger' était armée d'un couteau.
Les policiers ont alors ouvert le feu et mortellement touché la femme.
Quand les secours sont arrivés sur place, ils n'ont pu que constater le décès de la femme. Ses trois enfants se trouvaient dans l'appartement au moment des faits mais aucun n'a été blessé.
Une enquête a été ouverte afin d'examiner si le recours à la force des deux agents était bien nécessaire, ils possédaient tous les deux un taser.
La jeune femme souffrait de troubles mentaux et le porte-parole de la police a indiqué de son côté que la victime avait déjà appelé la police plus tôt le mois-ci et avait menacé les agents avec de très grands ciseaux.
'Ils pouvaient la maîtriser. Même moi j'aurais pu la maîtriser. Pourquoi ne pouvaient-ils pas utiliser un Taser contre elle ?' rétorque la sœur de la victime.
Dimanche, la police de Seattle a abattu une femme noire de 30 ans qui était enceinte de trois mois. La jeune femme avait à la base appelé la police pour siganer un cambriolage.
Lorsque les deux agents sont arrivés, la victime décrite comme 'pouvait présenter un danger' était armée d'un couteau.
Les policiers ont alors ouvert le feu et mortellement touché la femme.
Quand les secours sont arrivés sur place, ils n'ont pu que constater le décès de la femme. Ses trois enfants se trouvaient dans l'appartement au moment des faits mais aucun n'a été blessé.
Une enquête a été ouverte afin d'examiner si le recours à la force des deux agents était bien nécessaire, ils possédaient tous les deux un taser.
La jeune femme souffrait de troubles mentaux et le porte-parole de la police a indiqué de son côté que la victime avait déjà appelé la police plus tôt le mois-ci et avait menacé les agents avec de très grands ciseaux.
'Ils pouvaient la maîtriser. Même moi j'aurais pu la maîtriser. Pourquoi ne pouvaient-ils pas utiliser un Taser contre elle ?' rétorque la sœur de la victime.