27e sommet franco-africain : vers un nouveau plan d'aide au développement
- il y a 7 ans
Fançois Hollande n’est pas arrivé au Mali les mains vides samedi pour le 27e sommet franco-africain.
Le président français devait annoncer un plan d’aide au développement de 4 milliards d’euros par an d’ici 2019 ainsi que que la création d’un fonds d’investissement franco-africain doté de 76 millions d’euros.
Une trentaine de chefs d’Etat et de gouvernement d’Afrique ont fait le déplacement jusqu‘à Bamako.
Ensemble, ils devaient évoquer les questions de sécurité, de migration et de gouvernance alors que plusieurs chefs d’Etat africains souhaitent coûte que coûte se maintenir au pouvoir.
Le président élu gambien, Adama Barrow, présent au sommet de Bamako #AFP https://t.co/cuRpbDk8bv— AFP Afrique (@AFP_Afrique) 14 janvier 2017
“François Hollande était venu à Bamako quelques mois après son élection. C’était en février 2013”, explique Olivier Péguy, notre envoyé spécial. “Les soldats français venaient de mettre en déroute les groupes djihadistes qui progressaient dans le pays. Le président français avait été accueilli en héros. Aujourd’hui, le contexte est différent. Ce voyage à Bamako représente le dernier grand rendez-vous africain avant la fin de son mandat”.
Le président français devait annoncer un plan d’aide au développement de 4 milliards d’euros par an d’ici 2019 ainsi que que la création d’un fonds d’investissement franco-africain doté de 76 millions d’euros.
Une trentaine de chefs d’Etat et de gouvernement d’Afrique ont fait le déplacement jusqu‘à Bamako.
Ensemble, ils devaient évoquer les questions de sécurité, de migration et de gouvernance alors que plusieurs chefs d’Etat africains souhaitent coûte que coûte se maintenir au pouvoir.
Le président élu gambien, Adama Barrow, présent au sommet de Bamako #AFP https://t.co/cuRpbDk8bv— AFP Afrique (@AFP_Afrique) 14 janvier 2017
“François Hollande était venu à Bamako quelques mois après son élection. C’était en février 2013”, explique Olivier Péguy, notre envoyé spécial. “Les soldats français venaient de mettre en déroute les groupes djihadistes qui progressaient dans le pays. Le président français avait été accueilli en héros. Aujourd’hui, le contexte est différent. Ce voyage à Bamako représente le dernier grand rendez-vous africain avant la fin de son mandat”.