L'Unesco crée la polémique avec deux projets de résolutions sur la Palestine
- il y a 8 ans
Au coeur d’une polémique qui ne cesse d’enfler, l’Unesco pourrait rétropédaler sur deux projets de résolutions concernant la Palestine. Ces projets, proposés par sept pays arabes, ont été adoptés en commission et doivent être soumis en début de semaine prochaine au vote du Conseil exécutif. Mais le président du Conseil espère un report.
“Le Conseil de l’Unesco a 58 membres, qui sont d’ailleurs des gouvernements, a déclaré Michael Worbs. Et en Commission, 24 membres ont voté en faveur de ces textes, ce qui montre que c’est une question qui est source de divisions. Or cette division ne vient pas de l’Unesco, elle vient du monde réel, si l’on peut dire.”
Estimant que ces textes nient le lien historique entre les juifs et Jérusalem, le Premier ministre israélien a annoncé la suspension de toute coopération avec l’Unesco.
“Avec cette résolution absurde, l’Unesco a perdu le peu de légitimité qui lui restait, a martelé Benjamin Netanyahu. Mais je pense que la vérité historique est bien plus forte et la vérité prévaudra.”
L’Etat hébreu est notamment scandalisé par le fait que les textes ne fassent pas référence à l’esplanade des Mosquées sous l’appellation juive de mont du Temple et qu’ils désigne d’abord par son nom arabe le parvis du mur des Lamentations.
“Le Conseil de l’Unesco a 58 membres, qui sont d’ailleurs des gouvernements, a déclaré Michael Worbs. Et en Commission, 24 membres ont voté en faveur de ces textes, ce qui montre que c’est une question qui est source de divisions. Or cette division ne vient pas de l’Unesco, elle vient du monde réel, si l’on peut dire.”
Estimant que ces textes nient le lien historique entre les juifs et Jérusalem, le Premier ministre israélien a annoncé la suspension de toute coopération avec l’Unesco.
“Avec cette résolution absurde, l’Unesco a perdu le peu de légitimité qui lui restait, a martelé Benjamin Netanyahu. Mais je pense que la vérité historique est bien plus forte et la vérité prévaudra.”
L’Etat hébreu est notamment scandalisé par le fait que les textes ne fassent pas référence à l’esplanade des Mosquées sous l’appellation juive de mont du Temple et qu’ils désigne d’abord par son nom arabe le parvis du mur des Lamentations.