FLSA_N1
- il y a 16 ans
Nous, front de libération des supporters actifs, réclamons la libération des places pour l’euro 2008, lâchement retenues par la FFF et ses associés.
Nous, FLSA, suivons l’équipe de France de football aux quatre coins de l’Europe et du monde, qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige, jusqu’aux limites des cartes ou des GPS, sacrifiant famille, travail et économies pour ces voyages souvent interminables.
Ni les dirigeants de la FFF ni les médias, ne s’intéressent à notre cause.
C’est pourquoi nous en sommes venus à cette solution ultime, car
nous retenons FOOTIX en otage, mascotte de la coupe du monde 1998, symbole du foot business et des supporters, gallophiles, chasseurs de gloire, maquillés à outrance. Je rassure les défenseurs des animaux, pour le moment FOOTIX va bien, il est nourri correctement avec des grains bio, il sera relâché si nos exigences sont réalisées avant la fin de l’ultimatum.
Si avant le 9 avril 2008, soit deux mois avant le premier match des bleus, les places restent entre les mains des nantis et des privilégiés, FOOTIX sera exécuté su l’autel de la lutte pour nos couleurs
Nous, FLSA, suivons l’équipe de France de football aux quatre coins de l’Europe et du monde, qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige, jusqu’aux limites des cartes ou des GPS, sacrifiant famille, travail et économies pour ces voyages souvent interminables.
Ni les dirigeants de la FFF ni les médias, ne s’intéressent à notre cause.
C’est pourquoi nous en sommes venus à cette solution ultime, car
nous retenons FOOTIX en otage, mascotte de la coupe du monde 1998, symbole du foot business et des supporters, gallophiles, chasseurs de gloire, maquillés à outrance. Je rassure les défenseurs des animaux, pour le moment FOOTIX va bien, il est nourri correctement avec des grains bio, il sera relâché si nos exigences sont réalisées avant la fin de l’ultimatum.
Si avant le 9 avril 2008, soit deux mois avant le premier match des bleus, les places restent entre les mains des nantis et des privilégiés, FOOTIX sera exécuté su l’autel de la lutte pour nos couleurs