Flamenco piano

  • il y a 17 ans
Ecouter jouer Jorge Amador comme aux moments précieux de la cour de l'Archevêché du festival "Les Suds", à Arles, c'est passer de l'autre côté du flamenco, loin des battements de pieds sur le parquet. C'est une musique dépouillée, austère, émouvante. Il va chercher très loin ses sonorités, réinvente le flamenco sur les rives du jazz, sans fioritures et lance son chant comme une plainte sourde plus que comme le cri de victoire d'un danseur torero.

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