Référendum en l'Ecosse : des sondages donnent le non en tête
- il y a 10 ans
ÉDIMBOURG - 17 sept. - J-1 avant le referendum historique en Écosse. Mercredi, trois nouveaux sondages ont donné une très courte avance au Non, mais les analystes confirment que tout va se jouer dans un mouchoir de poche. Le "non" à l'indépendance l'emporterait avec 52% et le "oui" est à 48%.
Du coup, les partisans du oui et du non jetaient mercredi leurs dernières forces dans la bataille. "Nous avons quatre points d'avance pour la campagne du Non. C'est bien, mais il y a toujours une marge d'erreur. Donc nous devons conforter (cette avance), et aller voir les gens. Je me focaliserai sur les indécis", explique Kezia Dugdale, députée régionale écossaise.
Les résultats ont été interprétés positivement aussi par le camp du "oui".
Ces sondages montrent que "nous sommes tout près d'un succès jeudi", a déclaré Blair Jenkins, qui dirige le mouvement favorable à l'indépendance, Yes Scotland.
Du côté des votants aussi, la tension monte : "Je ne sais franchement pas ce qu'il va se passer. C'est très excitant, je suis convaincu que cela va se jouer dans un mouchoir de poche, quelque soit le résultat final", assure Luke, un jeune Écossais de 17 ans.
Cette consultation pourrait marquer la fin d'une union vieille de 307 ans entre l'Ecosse et l'Angleterre et déboucher sur la création d'un nouveau pays en Europe.
Du coup, les partisans du oui et du non jetaient mercredi leurs dernières forces dans la bataille. "Nous avons quatre points d'avance pour la campagne du Non. C'est bien, mais il y a toujours une marge d'erreur. Donc nous devons conforter (cette avance), et aller voir les gens. Je me focaliserai sur les indécis", explique Kezia Dugdale, députée régionale écossaise.
Les résultats ont été interprétés positivement aussi par le camp du "oui".
Ces sondages montrent que "nous sommes tout près d'un succès jeudi", a déclaré Blair Jenkins, qui dirige le mouvement favorable à l'indépendance, Yes Scotland.
Du côté des votants aussi, la tension monte : "Je ne sais franchement pas ce qu'il va se passer. C'est très excitant, je suis convaincu que cela va se jouer dans un mouchoir de poche, quelque soit le résultat final", assure Luke, un jeune Écossais de 17 ans.
Cette consultation pourrait marquer la fin d'une union vieille de 307 ans entre l'Ecosse et l'Angleterre et déboucher sur la création d'un nouveau pays en Europe.