Carla Bruni et Valerie Trierweiler manifestent pour les lycéennes enlevées au Nigeria
- il y a 10 ans
PARIS - 13 mai 2014 - Carla Bruni-Sarkozy, Sandrine Kiberlain, Line Renaud, Inès de La Fressange ou encore Valérie Trierweiler, plusieurs célébrités étaient réunies mardi place du Trocadéro, à Paris, pour demander la libération des lycéennes enlevées à la mi-avril au Nigeria.
L'occasion de voir côte à côte Valérie Trierweiler, l'ex-compagne du président Hollande et Carla Bruni-Sakozy...
Présente aux côtés de Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP), l'ancienne première dame Carla Bruni Sarkozy a refusé de s'exprimer.
La mobilisation internationale ne faiblit pas après l'enlèvement de 276 lycéennes, dont 223 sont toujours prisonnières du groupe islamiste Boko Haram .
A l'image de Michelle Obama, des centaines de milliers d'anonymes et de célébrités ont pris d'assaut les réseaux sociaux avec le hashtag #BringBackOurGirls pour attirer l'attention sur le sort de ces jeunes filles.
Dans une vidéo diffusée lundi, le groupe islamiste a exigé la libération de ses prisonniers en échange de celle de ces jeunes filles, une demande fermement rejetée par le pouvoir nigérian.
L'occasion de voir côte à côte Valérie Trierweiler, l'ex-compagne du président Hollande et Carla Bruni-Sakozy...
Présente aux côtés de Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP), l'ancienne première dame Carla Bruni Sarkozy a refusé de s'exprimer.
La mobilisation internationale ne faiblit pas après l'enlèvement de 276 lycéennes, dont 223 sont toujours prisonnières du groupe islamiste Boko Haram .
A l'image de Michelle Obama, des centaines de milliers d'anonymes et de célébrités ont pris d'assaut les réseaux sociaux avec le hashtag #BringBackOurGirls pour attirer l'attention sur le sort de ces jeunes filles.
Dans une vidéo diffusée lundi, le groupe islamiste a exigé la libération de ses prisonniers en échange de celle de ces jeunes filles, une demande fermement rejetée par le pouvoir nigérian.