C'était une occasion en or pour la majorité... mais la garde des Sceaux s'est finalement attiré des critiques virulentes suite à son mensonge lundi sur le plateau du 20h de TF1. Christiane Taubira a assuré ne pas avoir «été au courant avant» la révélation par le journal Le Monde de la mise sur écoutes des conversations téléphoniques entre Nicolas Sarkozy et de son avocat Thierry Herzog. Des propos remis en cause dès le lendemain par le Canard enchaîné puis par le Premier ministre lui-même qui concède avoir été mis au courant dès le 26 février. Benoît Hamon et Claude Bartolone ont beau avoir volé à sa rescousse, le mal est fait.