Le deuxième volet illustre une des métaphores post-modernes les plus symptomatiques de la collusion des intérêts de la classe politico-médiatique dirigeante avec les intérêts de long terme du capital et de la finance, mais aussi leur parfaite contradiction avec la volonté générale, quand elle a l'occasion de s'exprimer : Penser et construire l'Europe (des banques)