CAP D'AGDE - 2014 - Marie-Chantal PERRET recoit un EPHEBE D'HONNEUR 2014 de la VILLE d'AGDE

  • il y a 10 ans
CAP D'AGDE - Marie-Chantal PERRET recoit un EPHEBE D'HONNEUR 2014 de la VILLE d'AGDE

Marie Chantal PERRET est une mémoire de l' histoire du cap d'Agde arrivée avec les pionniers du Cap d'Agde.

Elle a tissé au fil des années un tissu relationnel conséquent au Cap d'Agde et est toujours présente afin développer et entretenir son quartier ou veiller au bien-être de ses habitants.

Lorraine d’origine, plus exactement Nancéenne, Marie-Chantal PERRET est installée sur le Cap d’Agde depuis 39 ans, c'est une mémoire de l' histoire du cap d'Agde arrivée avec les pionniers du Cap d'Agde.

Ingénieur informaticien, elle a travaillée en Suisse, en Allemagne, ainsi qu’en France, plus précisément à Montpellier et à Toulouse. Ses parents avaient un appartement au Cap d’Agde et c’est là qu’elle a rencontré son cher mari, «son Pierre Perret à elle» comme elle dit malheureusement décédé depuis). A la retraite de ce dernier, le couple à décidé de venir s’installer au Cap d’Agde, dans une résidence près du port.

Ne travaillant plus mais étant une femme active, Marie-Chantal Perret va rapidement s’intégrer dans la vie de la cité au travers de diverses associations. Après avoir été co-présidente du syndicat de sa copropriété, elle prend part à l’association «Notre Cap», qui rassemble les copropriétés du Cap d’Agde et œuvre pour le bien-vivre au Cap d’Agde. D’abord administrateur, elle est, depuis la démisson de JC Galland en Octobre 2009 , devenue la présidente de l'Association Notre Cap qui compte aujourd’hui 4 500 adhérents.

Elle est également membre du Comité de Quartier Cap Est.

En parallèle de ses fonctions dans la vie associative, Marie-Chantal s’occupe depuis plus de 16 ans de trois enfants vietnamiens.

Au départ, elle a apporté son aide en tant que voisine aux parents qui tenaient un restaurant, puis elle s’est naturellement occupée des enfants, leur faisant faire les devoirs le soir après l’école. Peu à peu, elle les a gardés le mercredi et puis pendant les vacances et aujourd’hui, elle est leur mamie de cœur.

Ce sont «comme mes enfants» dit-elle. Brayan, Océane et Sussy, respectivement âgés de 10, 14 et 19 ans, sont également très attachés à leur «Tata», ainsi que l’on appelle les aînés au Vietnam.