Mélenchon mobilise les sans-papiers africains
- il y a 11 ans
« Je le dis à tout le Maghreb, avec qui nous avons en commun une langue et une culture: nous, les Maghrébins européens... avec les Maghrébins qui viennent de là-bas, nous sommes une même famille ». Et Mélenchon d'ajouter :
"Nous avons une frontière commune (la Méditerranée) avec les pays du Maghreb" (sic).
"La politique de la France ne peut être tournée vers l'Est de l'Europe."
« Il y a plus de choses en commun, de ces deux côtés de la rive de la Méditerranée, que nous en avons avec le lointain Est de l'Europe » [...]
Par ailleurs, il faut régulariser tous les sans-papiers... du fait de « l'impossible » reconduite physique des immigrés à la frontière. Dans une cave d'hôtel, il galvanise des sans-papiers africains.
Mélenchon ignore que pour renverser la tendance de l'immigration, iI existe une toute autre alternative qui repose sur la réaffectation, après remise à plat, de l'Aide au développement qui jusqu'à ce jour, ne profite ni aux immigrés, ni aux pays en voie de développement, mais qui coûte aux contribuables français et européens. Ce sont ces fonds qu'il faudrait mobiliser pour de grands programmes de développement dans les pays concernés, en y associant les populations de ces pays.
Si leurs économies devenaient attractives, nul doute que beaucoup d'immigrés retourneraient au pays. Tout cela, sans surcoût... Mélenchon ne ferait plus recette.
Article mis à jour le 31-05-2012 http://wp.me/psr7b-2lK
"Nous avons une frontière commune (la Méditerranée) avec les pays du Maghreb" (sic).
"La politique de la France ne peut être tournée vers l'Est de l'Europe."
« Il y a plus de choses en commun, de ces deux côtés de la rive de la Méditerranée, que nous en avons avec le lointain Est de l'Europe » [...]
Par ailleurs, il faut régulariser tous les sans-papiers... du fait de « l'impossible » reconduite physique des immigrés à la frontière. Dans une cave d'hôtel, il galvanise des sans-papiers africains.
Mélenchon ignore que pour renverser la tendance de l'immigration, iI existe une toute autre alternative qui repose sur la réaffectation, après remise à plat, de l'Aide au développement qui jusqu'à ce jour, ne profite ni aux immigrés, ni aux pays en voie de développement, mais qui coûte aux contribuables français et européens. Ce sont ces fonds qu'il faudrait mobiliser pour de grands programmes de développement dans les pays concernés, en y associant les populations de ces pays.
Si leurs économies devenaient attractives, nul doute que beaucoup d'immigrés retourneraient au pays. Tout cela, sans surcoût... Mélenchon ne ferait plus recette.
Article mis à jour le 31-05-2012 http://wp.me/psr7b-2lK