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  • il y a 12 ans
Protection, enfermement, séparation, lamentations, signatures, messages d'amour, de haine, publicités, propagandes, ruines : à chaque société ses murs et leurs charges politique et sociale. « Qui laisse une trace laisse une plaie », écrivait Henri Michaud. Alors José Parlá fait siennes ces traces et ces plaies du monde dans des peintures à la frontière du réalisme et de l'abstraction. Entretien vidéo en action, entre Downtown et Brooklyn.
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