Selon Greenpeace, une trentaine de militants sont parvenues en l'espace de quelques minutes, à monter sur les infrastructures entourant les réacteurs de la centrale nucléaire de Tricastin pour y déployer deux banderoles au niveau des réacteurs 1 et 3. Sur la première, on pouvait lire : "Tricastin : accident nucléaire", la deuxième interpellait le président de la république "François Hollande : président de la catastrophe ?". L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a précisé que l'intrusion des militants de Greenpeace "n''a pas eu d'impact sur la sûreté de l'installation. L'EDF quant à elle a affirmé qu'Il n'y a pas eu de pénétration dans les enceintes de sécurité.