Sebulba

@Sebulba
Né sur la planète des Dugs, Malastare, dans le petit village de Pixwilto, Sebulba fut poussé par l’avarice et un désir excessif d’échapper à l’existence monotone de ses origines à faire carrière dans le Podracing. Etant dug, il a très mauvais caractère et est une brute : un avantage dans le Podracing.

Malgré un certain talent, Sebulba réalise bientôt qu’il n’arrivera jamais à atteindre le haut des classements honnêtement. Il se met donc à bricoler son podracer et à l’équiper de lance-flammes, vibrolames, et autres armes proscrites du podracing. Mis à part quelques rares exceptions où il se sent le besoin de saboter le podracer d’un adversaire, Sebulba préfère les moyens ingénieux ... et cruels : son plaisir est d’éliminer les autres concurrents pendant la course (couper les câbles qui tiennent le pod aux moteurs, jeter des morceaux de métal dans les moteurs adverses pour les faire exploser, etc.), et tout ça, bien sûr, loin des droïdes-caméra.

Le résonnement du Dug était juste : il se met rapidement à acquérir une certaine renommée. Les fans savent que si Sebulba participe à une course, il risque d’y avoir des accidents. Mais le Dug, gagnant de l’argent, met toutes les chances de son côté : il achète deux moteurs Plug-F Mammoth de plus de sept mètres de long ! Il existe des normes de taille pour les moteurs que Sebulba dépasse certainement, mais personne ne s’approche trop de cette question : il a fait sa réputation. Ses «efforts» sont finalement couronnés de succès : il devient vite une figure du podracing, gagnant à plusieurs reprise la Classique de la Boonta Eve, sur Tatooine, course connue des fans pour son haut taux de mortalité (environ 50%).

Avec la réputation, vient l’argent : le podracing fait de lui un Dug riche. Même si presque tous ses gains passent dans l’amélioration de son podracer, il ne néglige pas son propre confort : c’est ainsi qu’il s’achète deux jumelles Twi’lek pour lui servir de masseuses, mais aussi pour énerver les autres concurrents ; ainsi qu’une chaise de massage spécialement adaptée à sa morphologie.

Mais le podracing n’est pas sa seule activité lucrative : le Dug trempe également dans l’esclavage, utilisant son identité de coureur comme couverture pour passer de la «marchandise» d’un monde à l’autre. Il va même jusqu’à employer des hommes de main abyssins ou sakiyans pour enlever des enfants qu’il revend ensuite avec de gros bénéfices.